ACTUALITÉS 

29/09/2016

 25 après...et surtout grâce aux malades, associations, certains médecins et professeurs qui se battent depuis des dizaines d'années pour demander ceci..

Mais maintenant combien de mois ou d'années avant un protocole efficace de dépistage (bactéries + co infections) et de soins....; quel budget alloué ? et surtout la reconnaissance rapide de maladie en longue durée pour les malades déjà atteint depuis des années..
Car nombreux, sont les fibromyalgiques, (déjà non reconnus), etc qui ont peut être cette maladie vectoriel à tiques.

 

Ces patients aussi, diagnostiqués à tord, pour des dépressions, problèmes de somatisations psychologiques etc..en leurs donnant des traitements psychotropes, très additifs, pendant des années, jusqu'à 25 ans à 30 ans parfois et Lyme tombe par des tests Allemands !!! Encore un exemple le 26/09/2016, d'une dame diagnostiquée fibromyalgique, non reconnu, avec 25 ans d'errance médical !!! et dans certains cas des hospitalisations psychiatriques..
Mais bon, c'est un départ !

Marisol Touraine a présenté ce jeudi son plan de lutte contre la maladie de Lyme. Il était attendu depuis des années par des milliers de patients en errance thérapeutique. .
POURQUOIDOCTEUR.FR

 


09/09/2016

Journée annuelle d'information de l'OSMC

OMSC

 

Journée annuelle d'information de l'OSMC à Aix en Provence le 1er Octobre 2016. Isabelle Robard (avocat en droit de la santé), Bernard Pichon (directeur d'EQUILIBRE SINOVITAL) et Pedro Choy (leader de la reconnaissance de la médecine chinoise au Portugal) interviendront et répondront à vos questions. Cette journée est gratuite et ouverte à tous les praticiens, étudiants et consultants en médecine chinoise (dans la limite des places disponibles). Pour plus de renseignements et pour vous inscrire, cliquez sur le lien.

JOURNÉE D’INFORMATION ANNUELLE DE L’OSMC 7 septembre 2016 Non classéAIX EN PROVENCE | 1er octobre 2016 !!! Venez nombreux !!! Après les…
OSMC-FRANCE.COM

 


1/09/2016

LYME : pour les fibromyalgiques ou syndrome fibromyalgique qui me suivent ici..AINSI QUE LES THÉRAPEUTES

 Je vous donne un peux de nouvelle pour le test en Allemagne pour " Lyme ". 

 

C'est à Osbourg, prés de Munich, que c'est le mieux du point de vue de la fiabilité et de l’efficacité mais très cher. Entre 500 et 600 €, avec un kit à demander. Mais il n'y a pas que le western blot..

 

Aucun test n'est fiable à 100%, il dépend de la chronicité, de la forme kystique ou non, de l'endroit de la prise de sang, du jour de la prise de sang etc., mais c'est beaucoup mieux que les tests fiables qu'à 5% proposés en France, " Elisa " notamment. 

Il y a 35000 cas diagnostiqués chaque année en Allemagne contre 4000 en France. Pourquoi, pourtant ce sont des nations assez équivalentes ?

Pour les fibromyalgiques et autres pathologies ressemblantes, c'est évident que pour beaucoup " Lyme " a de plus en plus de lien et sert de vecteur déclencheur à d'autres pathologies. 

Ca bouge beaucoup en ce moment concernant " Lyme "grâce aux malades, au Professeur Peronne et à ses conférences cherchant à informer les médecins (le 10 sept à Toulouse etc. )

De nombreux cas de fibromyalgies sont diagnostiqués " Lyme " chaque jour, parfois 35 ans après avoir été piqué !!! Mais ces diagnostiqués sont entièrement démunis car il n’y a pas de traitements efficaces en France. Pour l'instant cela ne change rien, mais au moins si l'on savait pourquoi on a tous ses symptômes ce serait, déjà psychologiquement, mieux que de passer pour des problèmes psychiques ou autres

Il y a au minimum 10 cas de piqures de tiques ou autres insectes vecteurs de la borreliose chaque jour en France avec infections et érythème migrant (la rougeur), mais aussi autant de piqures avec la Borreliose et ses coïnfections sans pour autant que cela soit symptomatique, visible et avoir des symptômes aiguës.

Au lieu du chiffre de 200 000 infectés diagnostiqués pour le test qui c’est avéré positif (la bonne souche est de 5%), nous serions environ 5 millions à être infectés en France SANS LE SAVOIR ! Cela fait plus de 20 ans que la Borreliose s'est pratiquement installé dans toutes la France et il n'y a pas que les tiques qui sont porteurs de la bactérie. 

D'autant plus, selon d’éminents professeurs et docteurs, qui plus est pour l’un d’entre eux prix Nobel de médecine ( voir articles sur le sujet *) , que le Sang lors de transfusions sanguines pourrait  être contaminé également et contaminer les receveurs. C'est peut être pour cette raison que les pouvoirs publics trainent... et se conforme au 1er test "Elisa" qui n'est fiable qu'a 5%. Plus de filtrage, moins de malades recensés, moins de scandale !!!

 

*source pour une hypothèse peut être probable de Sang contaminé (au conditionnelle )

http://www.reseauborreliose.fr/post/2012/06/14/Lyme%3A-don-de-sang-ou-don-de-Borrelia

 http://www.reseauborreliose.fr/index.php/post/2012/03/19/Le-prof.-Montagnier-sur-les-ondes-%3A-les-infections-bactériennes-et-Borrelia

 

Le test effectué en Allemagne est le LymeSpot Revised for Borrelia (auquel on peut associer Chlamydia Pneumoniae) et le CD3-/CD57+ au laboratoire BCA à Ausburg. Il y a possibilité d'associer d'autres recherches. Pour le détail et les prix, le labo est joignable par : 
- mail : info@bca-lab.de
- téléphone (anglais parlé) : +49 (0) 821 - 455 982-0
http://www.bca-lab.de (copié le lien dans un traducteur en ligne pour site web)

 

 

La documentation est très rapidement envoyée, ainsi que les explications pour la réception du kit et son retour.

Ne manque qu'une ordonnance de votre médecin pour que le prélèvement sanguin soit pris en charge

http://www.bca-lab.de (copié le lien dans un traducteur en ligne de page web)

je reviendrais bientôt pour plus d'éclaircissement pour l'ordonnance à joindre et la prise en charge si l'on peut effectivement passer par notre médecin traitant..

Pour plus d'infos Lyme france, Lyme naturellement, lyme sans frontieres 

Pour le Dr Richard Horowitz, auteur de "Soigner Lyme et les maladies chroniques inexpliquées" dans de nombreux cas de syndrome de fatigue chronique, de fibromyalgie, de pathologies auto-immunes de type polyarthrite rhumatoïde, sclérose en plaques ou lupus, et même Alzheimer, on trouve une infection transmise par les tiques.

http://www.thierrysouccar.com/blog/lyme-la-grande-imitatrice

Lyme : la grande imitatrice

La maladie de Lyme transmise par les tiques, c'est la grande imitatrice ! Exemple avec le chanteur-acteur américain Kris Kristofferson, diagnostiqué Alzheimer et traité en conséquence. C'était en fait un Lyme !

 

THIERRYSOUCCAR.COM

En MTC

http://www.taosurgaronne.fr/2016/08/25/la-maladie-de-lyme-en-mtc/


Les médecines traditionnelles dans le monde

28/08/2016

Les médecines traditionnelles dans le monde

Question : Quel est l’état des médecines traditionnelles dans le monde et qu’en pense l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé) ? 

Alternative

 

Réponse : Sur les 7 milliards (un peu plus chaque jour) d’humains sur terre, plus de la moitié est soignée par les médecines traditionnelles : 1,2 milliards de chinois par la MTC, 1 milliard d’indous par l’homéopathie et la médecine ayurvédique, 800 millions d’africains (80% de la population) par la phytothérapie locale, sans compter beaucoup de sud-américains … C’est principalement dans les pays du sud que la médecine traditionnelle attire le plus d’adeptes. 

L’OMS, par la voix du dr. Ebrahim SAMBA, directeur pour l’Afrique, déclarait en 2002 : « Nous devons agir afin d’évaluer l’efficacité des médecines traditionnelles et de protéger notre héritage et nos connaissances traditionnelles. Nous devons institutionnaliser cette médecine et l’intégrer dans nos systèmes nationaux de santé ».

alt

Dans les « pays riches », la demande est importante. Selon les chiffres de l’OMS, 75% de la population européenne a eu recours au moins une fois à des traitements complémentaires. En Allemagne, 77% des services soignant la douleur proposent l’acupuncture. 

Selon l’OMS, ces approches médicales intègrent des médicaments naturels (minéraux, végétaux et animaux), des traitements spirituels, des techniques manuelles appliquées seuls ou en association. « La médecine traditionnelle ou complémentaire est à la fois victime de l’enthousiasme sans esprit critique et du scepticisme mal informé », explique le dr. Yasuhiro Suzuki, directeur exécutif à l’OMS de la branche Technologie de la santé et produits pharmaceutiques. « Notre stratégie a pour but de tirer profit de son potentiel pour améliorer la santé et le bien-être des gens, tout en minimisant les risques liés à une mauvaise utilisation des remèdes ou a une efficacité qui n’a pas été prouvée ». L’hypnose et les techniques de relaxation peuvent soulager l’anxiété et l’insomnie, le yoga peut réduire les crises d’asthme, tandis que la pratique du tai-chi aide les personnes âgées à avoir moins peur des chutes. 

A côté des pathologies chroniques, la médecine traditionnelle a aussi des applications sur les maladies infectieuses. Ainsi, en Afrique du sud, le « Medical Research Council » étudie l’efficacité d’une plante (Sutherlandia microphylla) dans le traitement des malades HIV+. Utilisée traditionnellement comme tonique, elle semble augmenter la vigueur, l’appétit et la masse corporelle des personnes infectées. 

alt

La stratégie de l’OMS pour l’étude et la promotion des médecines traditionnelles repose sur quatre axes :

  1. Elaborer des politiques nationales portant sur la règlementation de ces pratiques,
  2. Etablir des bases de données sur la qualité des produits et des pratiques traditionnelles,
  3. Promouvoir le recours, justifié sur le plan thérapeutique, à ce type de médecine,
  4. Enfin, veiller à ce que ces méthodes médicales soient accessibles et abordables.

L’OMS espère en effet que la délivrance de traitements traditionnels sûrs et efficaces puisse jouer un rôle dans l’amélioration de l’accès aux soins, notamment dans les pays en développement.

Le but de notre modeste site est de faire connaitre les principes et avantages que ces médecines traditionnelles, afin de valoriser leur approche écologique de la santé humaine.

Bibliographie : « Médecines du monde, histoire et pratiques des médecines traditionnelles » Claudine BRELET (Robert Laffont, 2002)

A propos de l'auteur
Jean Yves Henry
http://www.medecine-integree.com/les-medecines-traditionnelles-dans-le-monde/

14/08/2016

Michael Phelps et le "cupping" : une technique de médecine chinoise ancestrale très efficace chez les sportifs

 

Michael Phelps et le "cupping" : une technique ancestrale très efficace chez les sportifs

Publié le 10-08-2016 à 11h34 - Modifié le 11-08-2016 à 12h06

 

Par Jean-Pierre Croutaz

Praticien de médecine chinoise

 

 Alors que le nageur américain Michael Phelps vient de remporter sa 21e médaille d'or aux Jeux Olympiques en s'imposant au 4x200 m, tout le monde s'est interrogé : à quoi correspondent ces ronds violets sur son corps ? Il s'agit en fait des traces laissées par une technique de médecine chinoise, nommée "cupping". Explications de Jean-Pierre Croutaz, vice-président de l'Union française des professionnels de médecine traditionnelle chinoise.

Édité et parrainé par Rozenn Le Carboulec

 

 

 

La technique des ventouses, ou cupping, utilisée par quelques athlètes lors des Jeux Olympiques de Rio, est une méthode assez simple qui était pratiquée de manière ancestrale en Europe, comme les cataplasmes et les enveloppements. Mais alors qu’elle est tombée en désuétude chez nous, la tradition chinoise en a conservé l’usage.

 

Des pots en verre aux ventouses en plastiques

 

À l’époque, cette technique se faisait à l’aide de pots en verre très solides, que l’on appelait des ventouses, à l’intérieur desquels on passait un coton enflammé avec de l’alcool à 90 degrés pour créer du vide. On les plaquait ensuite contre le dos, ce qui créait une dépression aspirant la peau. Cette méthode était alors utilisée principalement comme révulsif pour traiter les encombrements pulmonaires.

 

Les Chinois ont continué à utiliser cette recette de grand-mère, mais les ventouses sont maintenant en plastique, ont un petit clapet et le vide se fait avec une petite pompe manuelle. C’est cette même méthode qui est reprise par le nageur américain Michael Phelps, comme on peut très bien le voir sur une photo qu’il a partagée sur son compte Instagram. 

Une technique qui permet une récupération rapide

 

Ces ventouses attirent le sang proche de la surface du corps, le sortant de ses vaisseaux habituels, et formant ainsi des hématomes sous la peau. Le principe est ici un peu le même que celui d’une saignée : on retire un peu de sang pour pouvoir le régénérer. Cela a un effet bénéfique sur la circulation, mais également, quand c’est fait de manière régulière et globale, sur la production du sang. En médecine chinoise, on dit que "ça sort le sang vicié".

 

Les athlètes de haut niveau, qui font face à de très grosses charges d’entraînement à des créneaux précis, doivent pouvoir récupérer très rapidement. Cela est permis grâce au drainage des ventouses. Des sportifs en bonne condition physique peuvent ainsi récupérer très vite après un entraînement, quitte à avoir quelques hématomes sur la peau pendant 15 jours.

 

Cette technique n’est pas très désagréable, mais pas douloureuse pour autant. Lorsque je la pratique en cabinet, les patients trouvent que ça tire un peu et se plaignent surtout de ses retombées esthétiques.   

 

Une utilité aussi pendant l’entraînement

 

En plus des phases post-effort, le cupping peut être utilisé pendant l’entraînement comme orientation du flux sanguin. Il ramène ainsi davantage de circulation sanguine dans les masses musculaires superficielles que l’on souhaite renforcer de manière spécifique.

 

Ce sont des gestes finalement assez simples, mais qui demandent une expérience et une technicité très importantes si on les adapte au suivi d’athlètes de haut niveau, pour savoir où appliquer ces ventouses et surtout quand lors des cycles d’entraînement.

 

Pour Michael Phelps, nous pouvons observer que cette technique est surtout utilisée en drainage sur les grosses masses musculaires.

 

 

 

Le cupping, efficace contre les douleurs des règles

 

Dans le cadre d’une médecine douce plus poussée et savante, la technique des ventouses est encore très utilisée dans les hôpitaux chinois pour permettre une régénération plus en profondeur. Il est, par exemple, commun de s'en servir contre les douleurs des règles chez les femmes, en les appliquant sur la zone lombaire ou le sacrum.

 

Cela va même plus loin : en fonction de la couleur des hématomes, les médecins pourront faire un diagnostic sur la cause de ces douleurs. Dans les hôpitaux de médecine chinoise, les ventouses appliquées sur la zone du sacrum ou le bas du dos participent au traitement des fibromes utérins.

 

Le haut niveau des Chinois aux JO n’est pas un hasard

 

Dans la médecine chinoise, la compréhension énergétique, l’analyse fine du diagnostic, la circulation dans le système des méridiens qui irriguent le corps donnent accès aux outils que sont : l’acupuncture, les massages, mais aussi le cupping.

 

Il existe ainsi dans le dos toute une ligne de points qui correspondent à différents organes. Si l’on veut atteindre les poumons, on ciblera plutôt la zone située entre les omoplates, alors que pour une lombalgie, on visera le sacrum. Optimiser la respiration et la digestion, gérer le stress, favoriser la récupération ne peut se concevoir que par une prise en charge globale par un praticien de médecine chinoise.

 

Il est cocasse de constater que l’on reparle ces jours-ci, avec les Jeux Olympiques, de cette alliance de médecine savante avec la survivance de techniques très anciennes. Chez des athlètes très contrôlés, lecupping devient une sorte de dopage naturel, mais qui laisse des traces. Ainsi, nul doute que les Chinois, qui ont eu de gros résultats aux Jeux Olympiques de Pékin en 2008, ont utilisé et utilisent encore l’arsenal complet de leur médecine traditionnelle pour être à leur plus haut niveau.

 

 

 

Propos recueillis par Rozenn Le Carboulec.


26/06/2016

La science prouve enfin que les méridiens existent

Publié par Rene Dumonceau

La science prouve enfin que les méridiens existent

Le concept de méridien vient des techniques de la médecine chinoise traditionnelle comme l’acupuncture et l’acupression. La théorie des ambas dit que l’énergie vitale du corps (氣 qi en chinois mandarin) circule à travers le corps par des canaux spécifiques, appelés méridiens. Les différents méridiens sont interconnectés.

 

Signification :  « fusionner la spiritualité et la science »?

 

“In every culture and in every medical tradition before ours, healing was accomplished by moving energy.” – Albert Szent-Gyorgyi, Biochemist and Nobel Prize Winner.

« Dans toutes les cultures et dans toutes les traditions médicales précédant les nôtres, la guérison était accomplie en déplaçant les énergies.» – Albert Szent-Györgyi, biochimiste et Prix Nobel.

http://upliftconnect.com/science-proves-meridians-exist/

 

Les Méridiens existent-ils vraiment ?

 

La Théorie des Méridiens a été élaborée selon des connaissances empiriques. Il s’agit d’un système complexe et intégratif qui ne possède aucun équivalent en médecine occidentale, même si certains de ses aspects semblent à l’occasion correspondre avec les systèmes circulatoire, lymphatique, nerveux ou musculaire qui nous sont familiers.

Les Méridiens doivent-ils être considérés simplement comme un outil mnémotechnique qui a le pouvoir de synthétiser des observations relevant des différents systèmes physiologiques de l’organisme, ou bien constituent-t-ils un système distinct bien réel qui échappe encore aux connaissances de la science actuelle?

La question reste ouverte, mais les acupuncteurs peuvent affirmer, à partir de leur pratique quotidienne, que la Théorie des Méridiens procure une efficacité clinique remarquable. De plus, les patients témoignent régulièrement de l’existence de quelque chose qui correspond précisément aux Méridiens, soit par les descriptions qu’ils font des trajets de douleurs, ou encore lorsqu’ils décrivent les sensations provoquées par la pose des aiguilles sur les points d’acupuncture.

Dans la  Médecine traditionnelle chinoise le réseau qu’emprunte le Qi pour aller et venir  dans le corps de l’homme. Le mot Jing parle de l’idée de trajets, ce que nous appelons les Méridiens, tandis que le terme Luo lui décrit  les multiples ramifications et croisements dérivant des branches principales des Méridiens. L’ensemble donne les « Systèmes-Méridiens » qui alimentent ou qui relient les différentes parties de notre anatomie, et qui font des connexions entre les organes, et les points d’acupuncture, à la surface de la peau.

Pendant des décennies, dans diverses civilisations, les gardiens de la sagesse et les guérisseurs comprenaient bien le corps énergétique. Les techniques de la médecine pour soigner des pays tel que la Chine, d’Inde, du Japon et du Tibet, ainsi que celles d’autres pays, ont toutes évoqué ou utilisé les canaux d’énergie, méridiens ou nadis le long desquels l’énergie vitale de notre corps est en permanente circulation.

On considère que la vie est faite de bio-électricité et d’énergie vibratoire et logiquement notre santé serait donc à la base faites d’un équilibrage énergétique par divers moyens.
La vie sur terre existe par la force de vie et l’énergie qui parcourt et anime le corps, nous permettant de communiquer, bouger, respirer, manger, penser et même ressentir.

 

Les anciennes techniques traditionnelles de guérison parlaient toutes des canaux d’énergie, sen, méridiens ou nadis.

Les anciennes techniques traditionnelles de guérison parlaient toutes des canaux d’énergie, sen, méridiens ou nadis.


Parlons maintenant des canaux d’énergie

 

Cette force qui est vitale ou chi, est faites de 2 types de forces, yin et yang, et circule le long d’un réseau sophistiqué de voies énergétiques ou autoroutes, parcourant notre corps.

Il y a plus de 2000 ans certaines cultures  connaissaient déjà l’existence de ces canaux d’énergie.
On les nomme «sen» chez les  Thaïlandais, «nadis» pour les Indiens , «méridiens», «canaux» ou «vaisseaux» pour les chinois et les japonnais, et «canaux» pour les Tibéteins.
Pour les indiens, où de nombreux arts de guérir orientaux ont été mis au point, il est dit qu’il existerait 72 000 nadis ou voies d’énergie.

La maladie est considérée comme un blocage, dans ces canaux, du flux d’énergie.

Comme beaucoup de traditions médicinales, comprenant l’acupuncture, l’acupression, le massage et le yoga, sont fondées sur le principe de l’existence de ces canaux ou voies énergétiques, appelés aussi méridiens ou nadis, qui circulent par un vaste réseau dans l’ensemble du corps dans un vaste réseau.

Cette idée peu sembler farfelu pour certains de considérer que notre corps soit fait d’énergie alors que nous sommes constitué de chair et d’os, nous sommes un champ d’énergie, intégré dans un autre champ d’énergie.

Nos corps sont électromagnétique et des scientifiques ont  mesuré ces fréquences avec des machines, comme ECG et l’IRM. Beaucoup d’études montrent que ces voies énergétiques et ces points conduisent l’électricité même lorsque des aiguilles ne sont pas utilisées.

Et le massage Shiatsu a été créé pour donner les mêmes effets énergétiques.

De même, le Qigong, le Tai Chi et les postures de yoga, ont été créés pour pouvoir augmenter la conductivité électrique aux acupoints, mais la science n’a jamais cru à l’existence des méridiens jusqu’à présent.

 

Une gamme de traditions de guérison qui sont fondées sur le principe des méridiens.

Une gamme de traditions de guérison qui sont fondées sur le principe des méridiens.

 

Les résultats et la recherche scientifique

 

Des chercheurs de l’Université nationale de Séoul ont confirmé l’existence des méridiens, qu’ils désignent comme un « système primo-vasculaire. » Ils disent que ce système est un élément crucial du système cardio-vasculaire.

Auparavant, le scientifique nord-coréen Kim Bong-Han a suggéré l’existence des méridiens au début des années 1960. Il y a plus de 50 ans, S. Kim Bong-Han a montré que de nouvelles structures tubulaires existaient à l’intérieur et à l’extérieur des vaisseaux sanguins et des vaisseaux lymphatiques, ainsi que sur la surface des organes internes et sous le derme. Il croyait que c’étaient des lignes de méridien traditionnelles. Les méridiens sont ensuite appelés « canaux de Bonghan » ou canaux, après sa découverte, et maintenant l’existence de ce système dans divers organes a été corroboré par d’autres recherches.

En Corée, les scientifiques pensent que le système primo-vasculaire est en fait la composante physique du système de méridien utilisé en acupuncture.

Et ils suggèrent également que ce système soit impliqué dans l’acheminement du flux énergétique et de l’information, relayée par des bio-photons (qui sont les ondes électromagnétiques de la lumière) et par l’ADN.

 

Il pourrait y avoir un lien entre les méridiens, l’énergie et l’information diffusée par l’ADN.

Il pourrait y avoir un lien entre les méridiens, l’énergie et l’information diffusée par l’ADN.

Les scientifiques coréens étudient la médecine orientale avec des méthodes biophysiques et injectent une solution contenant un colorant spécial qui colore les méridiens. En injectant ce colorant dans les points d’acupuncture, ils ont pu voir des lignes fines. Celles-ci ne se voient pas sur les sites où ne se trouvent pas d’acu-points et donc pas de méridiens.

Les chercheurs ont découvert que les méridiens ne se limitent pas à la peau, mais sont en fait un système de canaux au travers desquels un liquide circule, et que ce liquide peut former des agrégats de cellules souches.

Auparavant, les scientifiques utilisaient une combinaison de techniques d’imagerie et de tomodensitométrie pour observer des points concentrés de structures micro vasculaires qui correspondaient clairement à la carte des points d’acupuncture créés par les praticiens chinois dans les temps anciens.

Dans une étude publiée dans le « Journal of Electron Spectroscopy et related phenomena » , les scientifiques ont utilisé un scanner sur des points de non-acupuncture et des points d’acupuncture. Les tomodensitométries ont révélé une distinction claire entre les structures anatomiques des points de non-acupuncture et des points d’acupuncture.

 

Les chercheurs ont injecté une coloration spéciale qui teinte les méridiens.

Les chercheurs ont injecté une coloration spéciale qui teinte les méridiens.

 

Le système des méridiens

 

Ces Systèmes-Méridiens regroupent l’ensemble des Méridiens réguliers, appelés JingMai. Ils forment une organisation complexe assurant la circulation des trois énergies Yin et des trois énergies Yang présentes dans l’organisme. Chacun des Systèmes-Méridiens est associé non seulement à une énergie Yin ou Yang spécifique, mais également, soit aux membres inférieurs (les Méridiens Zu), soit aux membres supérieurs (les Méridiens Shou), et à des Viscères spécifiques.

Il y a 12 paires de méridiens primaires et 2 méridiens simples intermédiaires, 6 yang et 6 yin. Les méridiens yang descendent le long du corps et les méridiens yin remontent le long du corps.

Chaque méridien est aussi lié à un élément.
Chaque méridien est plus actif à un certain moment de la journée ou de la nuit et chaque méridien est influencé par un élément ou une saison.

La nature des méridiens dans leur structure élémentaire, et comme vaisseaux transportant la force de vie, montre la connexion complexe et profonde de notre corps à l’univers, au niveau cellulaire.

Nous sommes intimement liés par les éléments, la structure énergétique et les flux d’énergie, à toute vie, à un niveau cellulaire.

Notre planète est également connu pour avoir ses propres voies énergétiques ou des lignes telluriques, que l’on peut comparer aux méridiens.

 

La carte a été créée par les praticiens chinois il y a près de 2000 ans.

La carte a été créée par les praticiens chinois il y a près de 2000 ans.

 

Comment les méridiens sont-ils liés à notre santé ?

 

C’est une vérité absolue : Notre corps et notre mental a besoin d’équilibre.

Un flux ou une énergie équilibré, pas trop ou pas trop peu, est propice à une bonne santé.

C’est le même principe pour la manière dont nous vivons. L’équilibre est primordial. Juste assez de nourriture, d’eau et un mode de vie sain et équilibré.

Comme l’a dit le Bouddha: «la voie du milieu» ou la modération en toutes choses.

Nous pouvons voir cette harmonie et cet équilibre dans la vie, comme la relation entre les énergies du yin et du yang – ou plus simplement, entre le masculin et le féminin – les deux énergies opposées et catalysantes.

 

Dans notre corps, nous devons équilibrer, pas trop ou pas trop peu.

Dans notre corps, nous devons équilibrer, pas trop ou pas trop peu.

Notre santé est dynamique si dans notre corps il y a harmonie et équilibre entre ces deux forces.

Si l’équilibre est perturbé, et si le flux de l’une de ces forces est plus grande que l’autre, alors la maladie peut survenir. Ces forces ou énergies circulent dans des canaux très précis dans le corps, ou méridiens, et ce sont les voies énergétiques de guérison du corps.

Dans la médecine traditionnelle indienne, les méridiens sont développés.

Ce sont les nadis trouvés dans le corps physique et ces nadis constituent le système nerveux, le système circulatoire, le système digestif, le système respiratoire, le systèmes lymphatique, etc.

Les blocages peuvent entraîner des problèmes de santé physique.
Les nadis peuvent également se trouver dans le corps subtil dans lequel ils portent des pensées, des sentiments et des impulsions nerveuses.

Lorsqu’ils sont bloqués, nous perdons notre capacité à ressentir, et à nous connecter en profondeur avec les autres personnes, mais avec notre environnement et nous-mêmes.

De la même façon que les veines sont importantes pour notre bon fonctionnement, les nadis s’entrelacent avec nos nerfs physiques et la matrice de la conscience pour créer le circuit de l’esprit et du soi, soutenant notre expression physique au travers des dimensions d’un autre monde.

 

Le Chi est composé de 2 sortes de forces, le yin et le yang.

Le Chi est composé de 2 sortes de forces, le yin et le yang.

 

Les familles de points

 

Les points sont divisés en familles définissant leur nature énergétique et leurs fonctions spécifiques. Un point a des indications précises, il sera toujours utilisé en fonction de son action synergique avec d’autres points. La prescription des points n’est pas une recette universelle; elle tient compte autant de l’affection traitée que de sa chronicité, de l’état énergétique du patient et des facteurs climatiques externes. Il en sera déduit le nombre de points, le type d’association entre eux, les outils à utiliser, les manipulations à effectuer, et les durées d’application.

Les points peuvent se distinguer en fonction de leur action locale ou distale. Un point local est généralement utilisé pour traiter une affection située dans la région du point, comme lorsque l’on traite une inflammation de la Vessie par des points situés au bas de l’abdomen. Un point distal offre la possibilité de traiter une pathologie « à distance ». Cette technique est utilisée entre autres pour les cas de douleurs aiguës où il est impossible de traiter directement la zone atteinte. Les points distaux font également partie intégrante d’une séance d’acupuncture dite « équilibrée », où à la fois des points de la tête, du tronc et des membres sont sollicités. Un traitement de prévention des allergies saisonnières, par exemple, comportera aussi bien des points locaux à la tête (la zone atteinte), que des points distaux aux chevilles et aux avant-bras.

Une autre famille est celle des points « Shu » et « Mu » (voir Palper). Ils permettent de traiter efficacement les affections des Viscères sans avoir à utiliser les Méridiens des Entrailles ou des Organes concernés. Les points Shu, tous situés sur la première chaîne du Méridien de la Vessie, qui irrigue le dos, sont utilisés pour équilibrer le Yang, donc les fonctions des Organes.

Les points Mu (voir ci-contre), par leur localisation sur la face Yin du corps, soit l’abdomen et le thorax, donnent accès à l’aspect structurel d’un Organe et seront utilisés pour nourrir le Yin de celui-ci.

À l’époque des Han (206 av. J.-C. – 220 apr. J.-C.), alors qu’il était interdit de se dénuder complètement devant son médecin, on a élaboré un système de points distaux , les points Jing, encore très utilisé à notre époque. Ils constituent des points de commande des 5 Mouvements (Bois, Feu, Métal, Eau et Terre) sur chacun des Méridiens (voir Cinq Éléments). Chaque Viscère possédant son Méridien, ils permettent donc à eux seuls la régulation des Organes, conformément à la Théorie des cinq Éléments. Par exemple, sur le Méridien du Foie, on peut stimuler le point Feu pour soulager des symptômes associés à un Excès de « Feu » dans cet Organe.

À ces familles s’ajoutent plusieurs autres types de points offrant chacun des particularités thérapeutiques. Je vous donne les principaux : les points Luo, situés sur le Méridien principal (LuoMai) de chaque Organe, permettent d’atteindre précisément des zones anatomiques; les points Yuan permettent de réguler l’utilisation de l’Énergie originelle de chaque Méridien et des fonctions et Organes qui y sont associées; les points Xi, dits points d’urgence, sont utilisés pour traiter un Organe en crise aiguë.

Lorsque le flux d’énergie est bloqué, il provoque une baisse d’énergie et la maladie.

Des pratiques comme le yoga et la méditation sur ces canaux subtils d’énergie, soutiennent le flux d’énergie à travers le corps.

Selon certains textes anciens indiens, il y a 350 000 nadis ou voies énergétiques dans le corps.

Dans la médecine indienne et dans la science spirituelle, on dit que les énergies du corps physique, du corps subtil et du corps causal circulent à travers les nadis.

Dans ce contexte, on dit que les nadis se connectent en des points d’intensité particulière appelés « nadichakras ».

Les trois nadis les plus importants sont ceux qui courent le long de la colonne vertébrale: ida, pingala et sushumna.

Le Sushumna est le canal central de l’énergie dans le corps humain, il fonctionne en partant de la base de la colonne vertébrale jusqu’à la couronne de la tête et transporte de l’énergie kundalini, qui est la force évolutive primitive.

La Kundalini est réveillée par le yoga et par la méditation et se trouve inerte à la base de la colonne vertébrale. L’activation de la kundalini conduit à une augmentation des états de conscience.

Le but du yoga est d’élargir le sushumna et d’unir ces voies.

Purifier les trois nadis conduit à la santé globale et au bien-être du corps et de l’esprit, ainsi qu’à la croissance spirituelle. Diverses techniques Pranayama aident à garder ces canaux nadis ouverts.

 

Les trois nadis les plus importants sont ceux qui dirigent le long de la colonne vertébrale: ida, pingala et sushunma.

Les trois nadis les plus importants sont ceux qui dirigent le long de la colonne vertébrale: ida, pingala et sushunma.

 

Si vous êtes sensible à l’énergie et si vous avez eu des traitements énergétiques, comme l’acupuncture, vous avez peut-être ressenti des courants d’énergie ou des flux de froid ou de chaud , par exemple, dans les jambes ou dans les bras.

Ceci est une libération d’énergie dans les méridiens et des flux d’énergie libérés lorsque le blocage est supprimé.

Il y a beaucoup de sorte de guérison basées sur le système des méridiens qui favorisent une santé rayonnante.

En améliorant le flux d’énergie à travers le corps, l’équilibre et la santé est atteint et nous entrons en contact avec notre vrai moi.

L’acupuncture est une modalité thérapeutique utilisée en Chine dès la fin de l’âge de Pierre. Elle traitait toutes les maladies qui touchent les patients. L’acupuncture est entrée dans la conscience occidentale moderne autour des années 1970, lorsque la Chine a cessé sa période d’isolement et a repris des contacts politiques et culturels avec l’étranger.

L’acupuncture a grandi lentement en Occident, peut-être à cause de la croyance qu’il n’y avait aucun fondement scientifique.

Peut-être qu’avec la preuve scientifique des méridiens, l’acupuncture deviendra plus répandue, ainsi que les autres grandes modalités de guérison basées sur les énergies du corps, soutenant ainsi plus de gens pour avoir une santé et un bien-être dynamique.

 

Article d'origine : Publié le 20/04/2016 par upliftconnect.com

Source française : sain-et-naturel.com

Relayé par un blog de René Dumonceau

 

Vous pouvez partager ce texte à condition d’en respecter l’intégralité et d'en citer la source. Utilisez toujours votre discernement par rapport à ces écrits. Vous avez un Libre-Arbitre, alors utilisez-le et surtout, écoutez ce que vous dicte votre coeur. Lui seul détient votre vérité, laissez-le vous guider.


 

 


11/04/2016

Courrier envoyé aux présidents des principaux tribunaux de France métropolitaine  11 avril 2016

 

Monsieur le Président,

A l’heure où la Médecine et l’acupuncture Traditionnelles Chinoises sont de plus en plus plébiscitées par les Français et pratiquées en toute innocuité par de nombreux praticiens non médecins, nous constatons que nombre de ceux-ci font encore l’objet de poursuites pour exercice illégal de la médecine malgré une évolution de la jurisprudence favorable depuis 10 ans.

 

La pratique de l’acupuncture par des praticiens dépourvus du doctorat en médecine -mais dûment et spécialement formés dans le cadre de la compréhension et du corpus médical spécifique de la médecine chinoise – est largement diffusée en France depuis plus de 40 ans et ceci, sans jamais avoir fait l’objet de plainte de plainte pour dérive sectaire ou de mise en danger de la personne. En outre, ces professionnels sont assurés en responsabilité civile pour leurs actes et aucun sinistre n’est enregistré depuis 1990.

 

La sécurité sanitaire de la pratique clinique, notamment en acupuncture, a été établie par des praticiens en Médecine Traditionnelle Chinoise et en acupuncture non médecins dans un document exhaustif qui n’a pas d’équivalent au monde.

 

Il est aujourd’hui évident et crucial que la législation doit être modifiée et adaptée à la situation sociale et légale des praticiens non médecins et à l’évolution des besoins de notre société en termes de soins complémentaires à la personne.

 

Aussi, nous pensons que la poursuite et la condamnation qui peut encore se produire des praticiens acupuncteurs non médecins pour exercice illégal de la médecine dans une société contemporaine comme la France, ne contribue pas à faire évoluer positivement l’aide à la santé des personnes que procure l’exercice d’une telle profession, ce d’autant que nombre de mutuelles procèdent au remboursement des prestations des praticiens. Il y a a donc un décalage entre les besoins de la société et la loi.

 

Ce phénomène, qu’ont connu les ostéopathes avant leur légalisation, se reproduit aujourd’hui en médecine traditionnelle chinoise. Cette situation est d’autant plus anachronique que nos partenaires européens légalisent ces pratiques et que la définition de l’exercice illégal de la médecine remonte dans sa définition actuelle à 1892(« Médecines non conventionnelles et droit », 2002, Litec, Isabelle Robard).

 

C’est pourquoi nous vous demandons, dans le plus total respect de l’indépendance de la magistrature, de bien vouloir engager une complète réflexion lors des procédures en ce domaine afin, lorsque l’analyse des faits ira dans cette direction, d’écarter une telle infraction, sachant que la notion d’exercice illégal porte sur une pratique médicale nouvelle en Occident n’utilisant absolument pas les méthodes de diagnostic et de soins relevant de la médecine biologique telle qu’elle est conçue en Occident.

 

En effet, à l’image de ce qui existe déjà dans de nombreux Etats membres de l’Union européenne, nous pensons que c’est par une série de relaxes massives et réfléchies qu’inévitablement le législateur se trouvera contraint de prendre la mesure d’une réalité professionnelle et sociétale incontestable., et de légiférer dans le sens de l’intégration des médecines complémentaires que sont la médecine traditionnelle chinoise et l’acupuncture pratiquées par des non médecins, comme ce fût le cas auparavant pour les ostéopathes qui essuyèrent de nombreuses procédures avant la légalisation de leur titre par la loi droits des malades du 4 mars 2002, puis prise en compte dans la loi d’amnistie d’août 2002.

 

Vous remerciant de votre attention à ce sujet, nous vous prions de croire, Monsieur le Président, en l’expression de notre considération respectueuse.

 

Longueville, le 04 avril 2016

Frédéric Breton, 

Président du Conseil d’Administration

OSMC

 


Important ! Pour nos amis et thérapeute Portugais !  Encore les lobbies de la médecine conventionnelle qui sèment le trouble..

 

Bien que légalisée depuis 2013, on étouffe la Médecine Chinoise au Portugal.

L'état portugais - sous influence lobbyiste - réclame aux acupuncteurs une TVA à hauteur de 23% par an sur 4 ans rétroactifs, soit 92% du CA de l'activité.

Au Portugal, l'acupuncture et la médecine chinoise sont réglementées par les lois 45/2003 et 71/2013 en tant que métiers de la Santé et de l'Enseignement Supérieur qui sont des professions fiscalement exonérées de TVA.

Les syndicats indépendants de praticiens portugais dénoncent une manœuvre lobbyiste de la part des acteurs et des autorités ordinales de la médecine conventionnelle.

L'OSMC se joint à l’action de soutien de nos confrères portugais.

Signez la pétition contre cette manœuvre inégale puisque les praticiens en Médecine Chinoise et Acupuncteurs devraient injustement payer une TVA pouvant mener à la faillite des écoles et des cabinets alors que les autres professions de santé en sont exonérées.

 

SIGNEZ LA PÉTITION ICI

 


"Stratégies de l'OMS pour la médecine traditionnelle pour 2014-2023" publié par l'Organisation Mondiale de la Santé.


L'affiliation CIPAV est effective pour les praticiens en MTC

Grâce au travail de Mr Jacques DESEAU, coprésident du SEATS (Syndicat Européen des Acupuncteurs Traditionnels et Shiatsu- Ki), notre profession est qualifiée désormais de profession libérale et affiliée à la CIPAV à partir de 2016. Nous le remercions pour sa détermination et sa persévérance sur plusieurs années, qui permet à la profession un pas vers la reconnaissance.

La CIPAV a décidé de réintégrer en son sein les praticiens en MTC à partir de Janvier 2016, et nous confirmons la possibilité de transfert des praticiens en Médecine Traditionnelle Chinoise enregistrés au RSI vers la CIPAV.

 


Sortie du dernier ouvrage de WANG De Feng de l'Academie Wang de Toulouse

   

LE TRAITEMENT DE LA DOULEUR EN MEDECINE TRADITIONNELLE CHINOISE

Ce livre de WANG De Feng apporte la précieuse réponse de la médecine traditionnelle chinoise (MTC) à la demande universelle de soulagement de la douleur. WANG De Feng est diplômée de l’Université de MTC de Pékin et titulaire du diplôme de recherches en MTC de l’Académie de recherches de médecine de Pékin.

Elle a exercé à l’hôpital de Pékin et, à compter de 1988, en Chine et au Pakistan. Elle offre dans ce livre le précieux fruit de ses longues années d’expérience.

 

PRÉFACES DE L'OUVRAGE

L'OUVRAGE 

 

 Allie une présentation théorique de la douleur en MTC et une étude clinique, fouillée, précise, pratique et détaillée de pathologies douloureuses de la tête aux pieds, associant la présentation occidentale des maladies et la nomenclature chinoise des maladies. Il révèle notamment les trois techniques pour lever l’obstruction, cause majeure de la douleur : par la chaleur en utilisant l’aiguille chaude et l’aiguille de feu ; par le saignement en utilisant l’aiguille triangulaire, l’aiguille « fleur de prunier » et l’aiguille associée à la pose de ventouses ; par la tonification en utilisant l’aiguille fine et la pharmacopée chinoise. Toutes les méthodes thérapeutiques de MTC sont utilisées : la pharmacopée chinoise, l’acupuncture avec ses diverses sortes d’aiguille, la moxibustion, l’auriculothérapie, les ventouses, le gua sha et le tui na an mo (massage) ainsi que le qi gong, pour traiter trente-quatre pathologies douloureuses (correspondant à quatre-vingt-cinq maladies en médecine occidentale) couramment rencontrées et répondant bien à un traitement de MTC. Cet ouvrage est une somme unique de connaissances et d’expérience clinique, indispensable à tous ceux dont le quotidien est de tenter de soulager ceux qui souffrent par d’autres moyens, complémentaires à ceux de l’allopathie.

Lien chez l'éditeur.

 

lien chez les éditeurs

 


Académie Wang de Toulouse - reportage

La télévision chinoise en langue française a effectué un reportage sur la MTC et sur l'Académie Wang à DongZhiMen dont la 1ère partie a été diffusée sur CCTV-F le 12 septembre et la seconde partie le 31 octobre 2015.

Toujours un plaisir de revoir mon professeur De Feng Wang et Pietro à l'occasion d'une émission..Parlons en sur CCTV (francais) et l'endroit ou j'ai fait mon stage à Beijing..souvenir..souvenir

1ere partie

http://cctv.cntv.cn/2015/09/12/VIDE1442019127340621.shtml

2eme partie

http://cctv.cntv.cn/2015/10/31/VIDE1446261248400287.shtml


Le terme "massage" n'est plus réservés aux kiné !

La nouvelle loi de modernisation du système de santé, parue au Journal Officiel le 26 janvier 2016, a donné lieu à de nombreuses modifications de la partie législative du code de la santé publique.

Ainsi les masseurs-kinésithérapeutes (MK) ont vu leur profession nettement valorisée. Le ministère de la santé a dû aligner la formation des MK sur les standards internationaux. Leur niveau d’études est passé de 3 à 4 ans. Le métier a été aussi revalorisé à travers la possibilité d’établir un diagnostic et de prescrire un traitement. L’activité de masseur-kinésithérapeute, souvent considérée comme paramédicale, se voit aujourd’hui plus « médicalisée ».

 

La profession de masseur-kinésithérapeute est bien différente, tant dans ses objectifs que dans ses moyens, de celle du praticien en massages-bien-être (PMBE) et si cette valorisation de la profession de masseur-kinésithérapeute s’avérait nécessaire pour les MK, elle est des plus profitables aux PMBE, c’est la fin d’une exception franco-française.

 

Mais avant les explications, un peu d’histoire.

Les MK ont toujours argué que le massage, de quelque nature qu’il soit, c’est à dire thérapeutique ou non, leur était strictement réservé. Pour ce faire, ils s’appuient sur l’article L4321-1 modifié par la Loi n°2002-303 du 4 mars 2002 « La profession de masseur-kinésithérapeute consiste à pratiquer habituellement le massage et la gymnastique médicale ».

Tout commence à la fin des années 80, le bien-être se démocratise, et pas seulement. Plusieurs facteurs vont être déterminants dans la naissance de la crispation entre les MK, les esthéticiennes et les PBME :

- Des pionniers comme Joël Savatofski (ancien MK) font connaître le massage bien-être qu’ils différencient du massage médical.

- Les appareils de palpé-roulé, destinés à effacer la cellulite, fleurissent chez les esthéticiennes.

- Les traditions orientales telles que l’ayurvéda, le tuina, le shiatsu se répandent en occident.

Rien ne va plus, la guerre est déclarée ! Les syndicats et le nouvel ordre des masseurs-kinésithérapeutes (OMK) créé en 1995,  estent en justice, avec acharnement, toute personne utilisant le terme massage. Les premiers procès apparaissent dont celui de notre ami Joël Savatofski qui donnera lieu à la fameuse affaire du Massage Bien-Etre (réf : livre du même nom aux éditions Yves Michel).

 

Cette affaire donnera naissance à l’Association Soutien au Massage Bien-Etre (ASMBE) puis l’association de se transformera en une fédération : la FFMBE. Depuis 2004, elle mène des actions sur le terrain, lance des pétitions… les centres de formation se regroupent, se structurent. L’engouement du public est manifeste : les spas deviennent à la mode,  dans le tourisme, les hôtels, petits ou grands, les campings etc. tous y vont de leur carte de massages. Ça y est, le massage-bien-être est démocratisé.

Le procès du Syndicat des MK contre Joël Savatofski ira jusqu’en Cours de Cassation, il sera perdu par les kinés, ainsi que la quasi-totalité de ceux qui suivront (il est à préciser ici que ne seront condamnés pour exercice illégal de la profession de kinésithérapeute, que les seuls PMBE qui auront occasionné une autre infraction connexe ou un préjudice physique ou corporel à un tiers).

Pourtant, l’inimitié des kinés à notre égard ne faiblit pas et l’Ordre des kinés s’organise pour faire la chasse aux indésirables. En avril 2010, Il trouve un accord avec les esthéticiennes : pour les MK le « massage », pour les esthéticiennes le « modelage » et pour les PMBE ni l’un ni l’autre (d’où un surnom qui nous sera alloué « les ni-ni »).

 

S’ensuit un lobbying très actif des kinés, sur internet et ses sites d’annonces, puis sur le sérail administratif afin de faire respecter l’interprétation faite par les kinés du code de la santé public : se déclarer en tant que praticien en massage-bien-être devient impossible en gardant cette appellation, des centres de formation se voient reprocher de former au massage des non kinés, le dossier de la FFMBE déposé à la CNCP (Commission Nationale de la Certification Professionnelle) est rejeté par 2 fois : impossible d’avoir un titre RNCP !

 

Nous sommes en 2015, malgré une jurisprudence constante plus que favorable pour les défenseurs du massage bien-être, la loi reste floue et en notre défaveur. A ce stade, tout semblait compromis, l’exception française existe et perdure ici comme dans bien d’autres registres !

 

Mais arrive 2016 et sa fameuse loi 2016-41 du 26 janvier « loi de modernisation de notre système de santé ».

Elle a fait beaucoup de bruit médiatique, notamment sur la mesure phare du tiers payant généralisé tant décrié par le corps médical ou encore du paquet de tabac « neutre ».

La loi 2016-41 a intégralement « refondu » l’article L4321-1 du code de la santé publique. Ce faisant, lors de cette réforme, le législateur a enfin fait preuve de bon sens.

Avant de voir ce qui a changé dans l’article L4321-1, revoyons l’ancien article avec lequel les MK s’octroyaient le monopole de massage !

Ancien article L4321-1 modifié par la Loi n°2002-303 du 4 mars 2002 « La profession de masseur-kinésithérapeute consiste à pratiquer habituellement le massage et la gymnastique médicale. La définition du massage et de la gymnastique médicale est précisée par un décret en Conseil ».

 

Cet article nous renvoi donc à la définition du massage laquelle nous est donnée par l’article R4321-3 : « On entend par massage toute manœuvre externe, réalisée sur les tissus, dans un but thérapeutique ou non, de façon manuelle ou par l’intermédiaire d’appareils autres que les appareils d’électrothérapie, avec ou sans l’aide de produits, qui comporte une mobilisation ou une stimulation méthodique, mécanique ou réflexe de ces tissus. »

 

Donc sur le fondement cette définition, pour les MK le massage thérapeutique ou non leur était strictement réservé.

 

Voyons maintenant les modifications de cet article avec la loi 2016 :

Article L4321-1, modifié par Loi n°2016-41 du 26 janvier 2016 – art. 123 et 134

La pratique de la masso-kinésithérapie comporte la promotion de la santé, la prévention, le diagnostic kinésithérapique et le traitement :

1° Des troubles du mouvement ou de la motricité de la personne ;

2° Des déficiences ou des altérations des capacités fonctionnelles.

Le masseur-kinésithérapeute peut également concourir à la formation initiale et continue ainsi qu’à la recherche.

 

Le masseur-kinésithérapeute exerce son activité en toute indépendance et en pleine responsabilité conformément au code de déontologie mentionné à l’article L. 4321-21.

 

Dans le cadre des pathologies héréditaires, congénitales ou acquises, stabilisées ou évolutives impliquant une altération des capacités fonctionnelles, le masseur-kinésithérapeute met en œuvre des moyens manuels, instrumentaux et éducatifs et participe à leur coordination.

 

Dans l’exercice de son art, seul le masseur-kinésithérapeute est habilité à utiliser les savoirs disciplinaires et les savoir-faire associés d’éducation et de rééducation en masso-kinésithérapie qu’il estime les plus adaptés à la situation et à la personne, dans le respect du code de déontologie précité.

 

La définition des actes professionnels de masso-kinésithérapie, dont les actes médicaux prescrits par un médecin, est précisée par un décret en Conseil d’Etat, après avis de l’Académie nationale de médecine.

 

Lorsqu’il agit dans un but thérapeutique, le masseur-kinésithérapeute pratique son art sur prescription médicale et peut adapter, sauf indication contraire du médecin, dans le cadre d’un renouvellement, les prescriptions médicales initiales d’actes de masso-kinésithérapie datant de moins d’un an, dans des conditions définies par décret. Il peut prescrire, sauf indication contraire du médecin, les dispositifs médicaux nécessaires à l’exercice de sa profession. La liste de ces dispositifs médicaux est fixée par arrêté des ministres chargés de la santé et de la sécurité sociale, après avis de l’Académie nationale de médecine.

 

En cas d’urgence et en l’absence d’un médecin, le masseur-kinésithérapeute est habilité à accomplir les premiers actes de soins nécessaires en masso-kinésithérapie. Un compte rendu des actes accomplis dans ces conditions est remis au médecin dès son intervention. Les masseurs-kinésithérapeutes peuvent prescrire des substituts nicotiniques. »

 

Nous remarquerons que le mot « massage » a disparu de l’article L4321-1. De fait, ce nouvel article renvoi à la définition de la masso-kinésithérapie et non plus à la définition du massage.

La masso-kinésithérapie est définie par l’article R4321-1 du décret n°2015-1110 du 2 septembre 2015 – art. 2, v. init.

 

« La masso-kinésithérapie consiste en des actes réalisés de façon manuelle ou instrumentale, notamment à des fins de rééducation, qui ont pour but de prévenir l’altération des capacités fonctionnelles, de concourir à leur maintien et, lorsqu’elles sont altérées, de les rétablir ou d’y suppléer. Ils sont adaptés à l’évolution des sciences et des techniques. »

 

Si on considère que tous les procès intentés par les MK et les OMK à l’encontre de PMBE étaient estés sur le fondement de l’article 4321-1 et du mot « massage », alors à la lecture de la version 2016 du code de la santé publique, toutes sur l’utilisation du mot massage devient de fait « infondée ».

L’horizon s’ouvre donc aujourd’hui pour que chacun puisse exercer son métier dans le respect de la loi.

 

Jean de la Fontaine aurait pu conclure que le bon sens finit toujours par l’emporter. 

 

Co-écrit par Olivier Stettler, Directeur de l’Institut Cassiopée, et Olivier Thieu, Juriste pénaliste, BTS et un DU en droit pénal et un Master II en droit et études européennes, option sciences criminelles.

Journal officiel

 LOI n° 2016-41 du 26 janvier 2016 de modernisation de notre système de santé

Modifications du code de la santé publique introduites par la LOI n° 2016-41 du 26 janvier 2016 de modernisation de notre système de santé (Source : Legifrance.gouv.fr) :

Ancien article L4321-1 La profession de masseur-kinésithérapeute consiste à pratiquer habituellement le massage et la gymnastique médicale.

La définition du massage et de la gymnastique médicale est précisée par un décret en Conseil d'Etat, après avis de l'Académie nationale de médecine.

Nouvel article L4321-1

La pratique de la masso-kinésithérapie comporte la promotion de la santé, la prévention, le diagnostic kinésithérapique et le traitement :

1° Des troubles du mouvement ou de la motricité de la personne ;

2° Des déficiences ou des altérations des capacités fonctionnelles.

Le masseur-kinésithérapeute peut également concourir à la formation initiale et continue ainsi qu'à la recherche.

… Dans l'exercice de son art, seul le masseur-kinésithérapeute est habilité à utiliser les savoirs disciplinaires et les savoir-faire associés d'éducation et de rééducation en masso-kinésithérapie qu'il estime les plus adaptés à la situation et à la personne, dans le respect du code de déontologie précité.

La définition des actes professionnels de masso-kinésithérapie, dont les actes médicaux prescrits par un médecin, est précisée par un décret en Conseil d'Etat, après avis de l'Académie nationale de médecine.

Commentaire : On ne parle plus de massage ni de gymnastique médicale mais d’actes professionnels de masso-kinésithérapie

Le décret en Conseil d’Etat qui doit préciser la définition des actes professionnels de masso-kinésithérapie n’est pas paru à ce jour.

Les articles suivants doivent donc évoluer conformément à la nouvelle Loi

Article R4321-1

La masso-kinésithérapie consiste en des actes réalisés de façon manuelle ou instrumentale, notamment à des fins de rééducation, qui ont pour but de prévenir l'altération des capacités fonctionnelles, de concourir à leur maintien et, lorsqu'elles sont altérées, de les rétablir ou d'y suppléer. Ils sont adaptés à l'évolution des sciences et des techniques.

Article R4321-3

On entend par massage toute manœuvre externe, réalisée sur les tissus, dans un but thérapeutique ou non, de façon manuelle ou par l'intermédiaire d'appareils autres que les appareils d'électrothérapie, avec ou sans l'aide de produits, qui comporte une mobilisation ou une stimulation méthodique, mécanique ou réflexe de ces tissus.

Article R4321-4

On entend par gymnastique médicale la réalisation et la surveillance des actes à visée de rééducation neuromusculaire, corrective ou compensatrice, effectués dans un but thérapeutique ou préventif afin d'éviter la survenue ou l'aggravation d'une affection. Le masseur-kinésithérapeute utilise à cette fin des postures et des actes de mobilisation articulaire passive, active, active aidée ou contre résistance, à l'exception des techniques ergothérapiques.


Permettez a notre herboriste d’exercer son métier et son art France

ADRESSÉE À

les autorités competentes

ministre de la santé

Permettez a notre herboriste Jean Pierre Raveneau d’exercer son métier et son art

 

 

Paris : un célèbre herboriste condamné pour «exercice illégal de la pharmacie»Publié le Mercredi 17 Févr. 2016, 20h47 | Mis à jour : 21h44

 

Il affirmait pouvoir combattre 80% des maladies avec des plantes : l'herboriste Jean-Pierre Raveneau a été condamné ce mercredi à un an de prison avec sursis pour «exercice illégal de la pharmacie en récidive».

Le tribunal correctionnel de Paris l'a également condamné pour «commercialisation ou distribution de médicaments (...) dépourvus d'autorisation de mise sur le marché, ouverture d'un établissement pharmaceutique sans autorisation et contrebande de marchandises prohibées». Il a assorti la condamnation d'une mise à l'épreuve de trois ans.

Un an de prison ferme et 50.000 euros d'amende avaient été requis à son encontre.

Tisanes, huiles essentielles… dans cette célèbre herboristerie parisienne de la rue d'Amsterdam (VIIIe), près de la place Clichy, une des plus vieilles d'Europe, les amateurs pouvaient se fournir, entre balance en cuivre et pilon, en plantes médicinales en vrac et en mélanges préparés sur place dans un petit laboratoire.

Hypertension, virus H1N1, troubles de la prostate, psoriasis, paludisme, fibromes, herpès génital ou constipation extra-forte, Jean-Pierre Raveneau expliquait à ses clients pouvoir combattre 80% des maladies.

Un combat contre le «monopole pharmaceutique»

Problème, depuis 1941, la loi réserve aux seuls pharmaciens de l'ordre et à leurs officines le quasi-monopole de l'exploitation des plantes médicinales à l'exception de 150 d'entre elles, jugées non-toxiques. Le dernier herboriste diplômé a lui disparu en 2000 à 95 ans. Et Jean-Pierre Raveneau, bien que docteur en pharmacie, n'était plus inscrit à l'ordre et n'exerçait pas dans une officine. 

«J'ai toujours estimé qu'il était possible avec un diplôme de pharmacien d'exercer dans l'herboristerie», avait justifié Jean-Pierre Raveneau à l'audience, expliquant avoir passé une bonne partie de sa vie à s'opposer au «monopole pharmaceutique» en obtenant la déclassification de la vitamine C, de minéraux et d'oligo-éléments, assimilés auparavant à des médicaments.

Mercredi, le tribunal a également condamné la propriétaire de l'établissement et d'une autre herboristerie parisienne, Nicole Sabardeil, à trois mois de prison avec sursis et 2000 € d'amende et sa société Pharma Concept à 50 000 € d'amende. Un revendeur, Mamadouba Camara, a écopé de 3000 € d'amende avec sursis. L'ensemble des prévenus devront en outre verser solidairement 2000 € de préjudice moral à l'ordre des pharmaciens qui s'était constitué partie civile.

«Mon but a toujours été d'apporter du bien-être»

«Pour vendre les produits retrouvés dans leurs herboristeries, M. Raveneau et Mme Sabardeil auraient dû être inscrits à l'ordre des pharmaciens», a jugé le tribunal. Leurs établissements ne sont pas des officines alors qu'ils dispensaient au détail «des médicaments» et qu'on y exécutait «des préparations magistrales ou officinales».

«M. Raveneau a constitué un circuit parallèle en suivant la mode des médecines alternatives», avait expliqué à l'audience un contrôleur de l'agence régionale de santé. «Les plantes, c'est l'origine du médicament. Elles ont des vertus mais peuvent aussi être du poison. En 2009, on avait dit à Raveneau qu'il exerçait une activité illégale, il n'en a pas tenu compte.»

«Je ne délivre pas d'ordonnances, rien que des conseils. J'ai vendu des plantes et des mélanges mais pas des médicaments. Mon but a toujours été d'apporter du bien-être. Quand je parle de combattre (une maladie), c'est s'y opposer mais je n'ai jamais prétendu guérir telle ou telle pathologie», avait plaidé le prévenu.

 
  
Leparisien.fr avec AFP

05/02/2016

http://www.la-clau.net/info/le-plus-grand-hopital-europeen-de-medecine-chinoise-sannonce-a-barcelone-11440

Le plus grand hôpital européen de médecine chinoise s'annonce à Barcelone

 

Un Master universitaire spécialisé sera créé dans la capitale catalane

 

 

 A compter de 2019, Barcelone disposera d'un grand établissement de médecine chinoise, lancé par la Beijing Administration of Traditional Chinese Medicine. Ce projet de 80 millions d'euros est accompagné d'un Master spécialisé, attendu dès septembre 2016 dans deux universités de la ville.

Le plus grand hôpital européen spécialisé en médecine traditionnelle chinoise ouvrira ses portes à Barcelone en 2019, selon une information confirmée ce lundi 1er février. La Beijing Administration of Traditional Chinese Medicine a signé un accord en ce sens avec le gouvernement catalan, mercredi 27 janvier. Cet établissement, fruit d'un investissement de 80 millions d'euros, sera construit sur des terrains cédés par les autorités catalanes. Dès septembre prochain, il sera activement préfiguré par un Master de médecine chinoise, mise en place à l'Université de Barcelone et à l'Université Pompeu Fabra, également située dans la capitale catalane. La mise en culture de plantes médicinales et la fabrication de produits de phytothérapie chinoise, en Catalogne, font partie de ce projet global.


 

L'acupuncture efficace pour soulager les douleurs du cou

03 Nov. 2015

RÉAGIR

 

Pour soulager les douleurs chroniques du cou, l'acupuncture et la technique Alexander, 2 formes de médecine dites alternatives, se sont révélées efficaces, indique cette nouvelle étude scientifique.

Deux thérapies non conventionnelles bénéficient d'une nouvelle légitimité scientifiquement établie par cette étude, publiée dans la revue Annals of Internal Medicine du 2 novembre.

 

La technique Alexander est utilisée pour prévenir et soulager diverses douleurs associées à une mauvaise utilisation du corps dans la vie quotidienne. La méthode se base entre autres sur la reconnaissance des habitudes pour en sortir et se donner par la pensée, de manière coordonnée, plusieurs ordres en même temps pour ne pas réagir à un stimulus automatique.

L'acupuncture est quant à elle centrée sur une approche énergétique et holistique du corps. Elle se propose d'agir par la voie des méridiens comme entendue dans la conception de la médecine chinoise. Des aiguilles insérées à la surface de la peau stimulent des points d'acupuncture précis aidant à régulariser les fonctions physiologiques, physiques et psychiques visées.

Pour évaluer l'efficacité de ces 2 méthodes, une équipe de chercheurs américains et britanniques ont sélectionné 517 patients atteints de douleurs chroniques du cou persistant depuis plus de 3 mois. Une partie de ces participants a été soumise, de façon aléatoire, à 12 séances d'acupuncture ou à 20 leçons privées de la technique Alexander. Ces 2 thérapies sont par ailleurs fréquemment utilisées en complémentarité pour soulager ce type de douleurs.

Les chercheurs ont utilisé le Northwick Park neck pain Questionnaire (NPQ), un outil qui évalue le retentissement des douleurs cervicales, à 3, 6 et 12 mois. 

Un an après le début du traitement, les douleurs des participants ayant été traités par ces 2 techniques étaient réduites, contrairement aux patients ayant reçu des soins et traitements conventionnels, constate l'équipe. Les deux groupes avaient ainsi vu leur douleur diminuer de 32% depuis le début des séances d'acupuncture ou de technique Alexander. Un résultat qui se situe bien au-delà des 9% généralement obtenus en couplant physiothérapie et exercices.

Les chercheurs ont également constaté que ces thérapies, bénéficiant d'un bon taux pourcentage d'acceptabilité et à une bonne adhérence, ont conféré aux participants plus d'efficacité personnelle. Des améliorations qui ont pu être associées à de meilleurs résultats.

De précédentes études, comme celle parue dans la revue Pain en juin 2004 et menée par une équipe de l'université d'Oslo, avaient déjà conclu qu'un traitement adapté d'acupuncture permet de soulager les douleurs musculaires chroniques de l'épaule, du cou et les maux de tête qui lui sont associées. 

Ce que personne n'a dit sur le prix nobel de medecine 2015

 - par 

Chère lectrice, cher lecteur,

La chinoise Youyou Tu a reçu le prix Nobel de médecine 2015.

Tous les journaux ont expliqué qu’elle avait mis au point un traitement contre le paludisme grâce à une plante utilisée en médecine traditionnelle chinoise, la qinghao.

Cela est vrai, nous allons y revenir, mais bizarrement, les autres propos de Youyou Tu sur la médecine chinoise ont été, à ma connaissance, totalement censurés dans la presse française.

Le Comité du prix Nobel lui-même a pris soin de préciser que ce prix ne récompensait pas la médecine traditionnelle chinoise, mais la découverte de cette chercheuse qui s’en est seulement « inspirée » [1].

Nous allons voir que cette situation est surréaliste.

Mais avant cela, permettez-moi de revenir rapidement sur la découverte qui a valu à Youyou Tu son prix Nobel.

De mystérieuses inscriptions gravées sur des tombes

L’existence de la Qinghao est mentionnée sur des inscriptions gravées sur des tombes chinoises datant de 168 avant J.-C.

Ses vertus sont vantées sur les anciens rouleaux à travers les siècles, jusque dans le « Livre des fièvres saisonnières » de 1798. Les guérisseurs, dans les campagnes chinoises, ont indiqué à Youyou Tu que cette plante, la qinghao, n’était autre que ce que nous appelons en Occident l’Artemisia annua.

L’Artemisia annua, ou Wormwood, est une herbe sauvage aux feuilles piquantes et aux fleurs jaunes.

Dans les années 1950, la tisane de qinghao était utilisée pour combattre les épidémies de malaria dans certaines régions de Chine, mais elle ne faisait l’objet d’aucune recherche scientifique.

Tout changea dans les années 60, quand le Président Mao Tse Toung reçut un appel de ses alliés au Vietnam Nord : les soldats chinois étaient décimés par la malaria (l’autre nom du paludisme).

Les médicaments contre la malaria ne marchent plus

La malaria était soignée depuis le XVIIe siècle grâce à une écorce rapportée du Pérou par les Jésuites : la quinquina. Ce traitement avait été fortement amélioré en 1820 quand des chimistes français en extrairent le principe actif : la quinine.

Dans les années 1930, la firme allemande Bayer, appartenant au groupe industriel chimique IG Farben (spécialisé dans les teintures), avait travaillé sur la quinine et essayé de produire des molécules dérivées plus efficaces. C’est ainsi qu’avait été inventée la chloroquine, toujours utilisée aujourd’hui.

Malheureusement, des résistances à la quinine et à la chloroquine sont apparues. Au Vietnam Nord, en particulier, ce traitement ne fonctionnait plus sur les soldats.

C’est dans ce contexte que Mao lança une grande mission de recherche pour trouver un nouveau traitement contre la malaria. Une équipe recourut à la méthode classique de recherche en médicament, qui est d’essayer des dizaines de milliers de molécules au hasard : ils en testèrent 40 000 sans succès. Une autre équipe, à laquelle appartenait Youyou Tu, partit au contraire à la recherche du savoir des guérisseurs traditionnels chinois.

À la rencontre des guérisseurs chinois

Les scientifiques appartenant à cette équipe testèrent plus de 2000 préparations à base de plantes utilisées par les guérisseurs chinois dans les campagnes. Ils identifièrent 640 cibles potentielles.

Plus de 380 extraits issus de 200 plantes chinoises furent testés sur des souris. C’est ainsi qu’ils finirent par découvrir les vertus de l’Artemisia annua, ou Qinghao en chinois, qui freine la croissance des parasites responsables de la malaria.

Ils découvrirent comment extraire le principe actif de cette plante à basse température pour obtenir un produit plus puissant. Ils l’appelèrent « Qinghaosu » (artémisinine en français). C’est cette découverte qui a valu le prix Nobel de médecine à Youyou Tu.

Mais en réalité, il fallut encore des années de recherche complémentaires pour élaborer un traitement efficace chez les humains.

En séparant les parties acides et neutres de cet extrait, l’équipe de chercheurs finit par mettre au point le 4 octobre 1971 un extrait neutre, non toxique et efficace à 100 % chez les souris et les singes infectés par la malaria.

Youyou Tu et ses collègues eurent le courage de tester eux-mêmes l’artémisinine pour vérifier qu’elle n’était pas toxique pour l’homme.

Elle ne l’était pas, mais l’efficacité contre le paludisme fut décevante. Il fallut encore dix ans de recherche pour développer, sur cette base, un traitement vraiment efficace qui fut finalement trouvé sous la forme d’un mélange d’arteméther, un dérivé de l’artémisinine, et de lumefantrine, un autre remède chinois.

Le remède abandonné

Ce remède aurait pu être diffusé dans le monde entier dès le début des années 80 mais il fallut encore attendre 30 ans.

En effet, après la mort de Mao, le programme de recherche fut interrompu. Personne en Occident ne pouvait utiliser ce produit qui était protégé par un brevet chinois, mais personne en Chine ne pouvait le produire non plus en l’absence de feu vert des autorités. L’Organisation Mondiale de la Santé, de son côté, laissa traîner le dossier. Ce n’est qu’en 2000 qu’elle finit par reconnaître officiellement son efficacité, étape indispensable pour qu’une firme puisse commencer à produire et distribuer le produit à grande échelle.

Durant tout ce temps perdu, le médecin anglais de Hong-Kong, le Dr Arnold, qui était allé en Chine pour participer aux recherches sur l’artémisinine, dénonça l’indécision des autorités comme « génocidaire » tandis que près d’un million d’enfants africains mouraient chaque année de la maladie.

Ce retard est d’autant plus tragique que l’armée américaine, de son côté, continua à utiliser un dérivé de quinine, la méfloquine, pour ses soldats envoyés en opération dans les pays tropicaux.

Très efficace contre le paludisme, la méfloquine provoque malheureusement de graves effets secondaires, dont des cauchemars et des accès de paranoïa. En 2002, plusieurs soldats des forces spéciales américaines revenant d’Afghanistan tuèrent leurs épouses, après avoir été rendus fous par le traitement [2].

Finalement, en 2001, la firme pharmaceutique suisse Novartis acquit le brevet chinois sur le mélange arteméther-lumefantrine. Elle commença à le vendre en 2001 sous le nom de Riamet, à prix fort pour les touristes et les militaires mais à prix coûtant pour l’OMS et les ONG, sous le nom de Coartem.

Mais même pour cela, l’OMS et les ONG n’avaient pas l’argent suffisant. Les fonds ne furent disponibles qu’en 2005 grâce au Fonds mondial de 2002 contre le sida, la tuberculose et la malaria, puis « L’initiative présidentielle contre la Malaria » (President’s Malaria Initiative [3]) du gouvernement Bush, en 2005. Ce n’est donc qu’en 2006 que le produit devint vraiment disponible à grande échelle, soit près de 40 ans après sa mise au point !

Aujourd’hui, environ 150 millions de doses sont achetées pour les pays pauvres chaque année.

On peut donc parler de millions ou dizaines de millions de vies sauvées annuellement par ce seul remède.

Mais ce que personne ne dit, c’est que Youyou Tu essaye depuis des années d’alerter la communauté scientifique internationale sur les autres remèdes potentiels de la médecine traditionnelle chinoise.

Jusqu’à présent, ses appels sont restés vains.

Une voix qui crie dans le désert

Dans un article publié dans la revue Nature le 11 octobre 2001 [4], Youyou Tu explique que ses travaux sur la Qinghao (artémisinine) ne sont qu’un exemple de ce que la médecine chinoise peut apporter à la santé dans le monde.

« L’artémisinine, qui contient un composé chimique unique, le sesquiterpene lactone créé par l’évolution phytochimique, est un vrai cadeau de la médecine chinoise traditionnelle chinoise.

Mais ce n’est pas le seul cas où la sagesse ancienne chinoise a porté des fruits.(…) »

De fait, elle cite de nombreux autres exemples :

« L’huperzine A, qui est un agent efficace pour le traitement des troubles de la mémoire, est un nouvel inhibiteur de l’acétylcholinestérase dérivé de la plante médicinale chinoise Huperzia serrata, et un dérivé de l’huperzine A est actuellement testé en Europe et aux Etats-Unis pour le traitement de la maladie d’Alzheimer. »

– « Le trioxyde d’arsenic, un remède ancien utilisé en médecine chinoise dans le traitement de la leucémie (leucémie promyélocytique aigüe, ou LPA), aujourd’hui considéré comme un traitement de première ligne de la LPA. [5] »

– « Des composés dérivés de remèdes traditionnels chinois, les molécules de chuangxiongol et de paéoniflorine, ont été testés pour prévenir la resténose (rétrécissement des artères) après une opération coronarienne (dans les artères du cœur). Ce composé à permis de réduire de 40 % le risque de resténose. »

Mais il y a encore beaucoup plus intéressant.

La médecine chinoise à la pointe de la recherche médicale

Youyou Tu explique que, malgré l’intérêt de ces nouveaux traitements, la principale valeur de la médecine chinoise n’est pas là.

« En effet, explique-t-elle, l’utilisation d’une simple plante pour le traitement d’une maladie spécifique est rare en médecine chinoise. Généralement, le traitement est déterminé par une approche holistique (c’est-à-dire tenant compte de tous les aspects de la personne, corps et esprit) de la maladie. »

C’est cette approche, selon elle, qui a « alimenté les progrès de la médecine chinoise depuis des milliers d’années. »

Elle évoque l’apparition d’une nouvelle discipline appelée la biomécanopharmacologie, qui prend enfin en compte un aspect essentiel du traitement, en médecine chinoise, qui est la circulation du sang [6].

La médecine occidentale doit encore découvrir l’importance des flux et énergies

La médecine traditionnelle chinoise parle de « stase du sang » pour désigner le problème d’une stagnation facteur de maladie. Il convient alors de stimuler par divers moyen la circulation pour restaurer les flux et les énergies qui caractérisent la bonne santé.

Selon Youyou Tu, « l’utilisation conjointe d’exercices physiques qui augmentent le flux sanguin et d’extraits de shenlian, une autre plante médicinale chinoise, a montré des signes d’efficacité pour la prévention de l’athérosclérose. [7]»

Une étude récente a identifié le mécanisme responsable de l’effet de l’acide B salvianolique, un composé présent dans la racine de Salvia miltiorrhiza, en combinaison avec une accélération du flux sanguin, sur les fonctions des cellules endothéliales [8] (qui tapissent l’intérieur des artères).

Youyou Tu estime que « les exemples cités ne représentent qu’un fragment des dons et des dons potentiels de la médecine chinoise. Mon rêve est que la médecine chinoise nous aide à vaincre les maladies mortelles dans le monde entier, et que les hommes et les femmes du monde entier puissent bénéficier de ses bienfaits pour la santé ».

Ce message a été occulté dans les médias occidentaux, qui se sont concentrés sur l’affaire du prix Nobel et de la malaria… pour mieux censurer le message de Youyou Tu sur l’intérêt majeur de la médecine chinoise sur les maladies fréquentes chez nous (cardiovasculaires, cancer, Alzheimer…).

Des intérêts économiques énormes sont à l’œuvre. Une vraie lutte de titans est engagée, entre la médecine occidentale d’un côté, la médecine chinoise de l’autre.

Pour l’instant, la lutte paraît inégale. Seule une infime minorité avant-gardiste ose s’aventurer hors des « frontières » de la médecine conventionnelle occidentale.

Ma conviction est que cette petite élite pourrait bien révolutionner la médecine de demain.

À votre santé !

Jean Marc Dupuis

[2]    http://www.nytimes.com/2002/07/29/us/wife-killings-at-fort-reflect-growing-problem-in-military.html

[3]    http://www.pmi.gov/about

[4]    http://www.nature.com/nm/journal/v17/n10/full/nm.2471.html

[5]    http://www.nature.com/nm/journal/v17/n10/full/nm.2471.html

[6]    Liao, F. et al. Biomechanopharmacology: a new borderline discipline. Trends Pharmacol.Sci. 27, 287–289 (2006).

[7]    You, Y. et al. Joint preventive effects of swimming and Shenlian extract on rat atherosclerosis. Clin. Hemorheol. Microcirc. 47, 187–198 (2011).

[8]   Xie, L.X. et al. The effect of salvianolic acid B combined with laminar shear stress on TNF-alpha-stimulated adhesion molecule expression in human aortic endothelial cells. Clin. Hemorheol. Microcirc. 44, 245–258 (2010).





C'est presque fait  et de plus en plus de personnes, de syndicats, de fondations relayent la pétition. Continuons de partager, de diffuser et surtout SIGNONS LA PÉTITION !!!

Forte d’une existence de plusieurs millénaires, d’une innocuité incomparable et d’une efficacité certaine, la médecine chinoise, enseignée et exercée par des «…
SECURE.AVAAZ.ORG